Les rouages de la justice
Le Conseil supérieur de la Justice a 25 ans : interview de ses nouveaux membres du bureau francophones, Bénédicte Inghels et Marc Bertrand
Mots-clés associés à cet article : Médiation , Conciliation , Modes alternatifs de résolution des conflits , Conseil supérieur de la Justice (CSJ) , Enquête , Chambre de règlement amiable , Règlement amiable , Baromètre de la Justice , Confiance , Commission d’avis et d’enquête
Nous avons rencontré Bénédicte Inghels, présidente de la Commission d’avis et d’enquête francophone du Conseil supérieur de la Justice (CSJ), qui, pour commencer, rappelle l’origine historique de cet organisme institué en 1998 par la Constitution et actif depuis 2000.
Elle nous rappelle également les différentes missions du CSJ et spécialement celles de sa Commission d’avis et d’enquête.
Dans la première vidéo de son interview, ci-après, elle met principalement l’accent sur les avis que donne cette commission pour contribuer à un meilleur fonctionnement de la Justice au sein de l’Ordre judiciaire, ainsi qu’à un renforcement du citoyen dans la Justice.
La vidéo suivante (n° 2) de l’interview de Bénédicte Inghels sera consacrée à la mission d’enquête et d’audit de cette commission du CSJ. Après cela, Questions-Justice publiera trois vidéos d’une interview de Marc Bertrand, président de la Commission de nomination et de désignation du Conseil supérieur de la Justice, qui présentera l’autre volet principal des activités de cet organisme.
Ces vidéos sont réalisées par Thérèse Jeunejean et Alain Desmarets.
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Jenyd Le 18 juin à 21:03
Le csj existe pour surveiller la justice… Donc ça veut dire que même la justice a besoin d’un gendarme. C’est rassurant, non ?
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Alexis Le 18 juin à 20:42
Incroyable… Selon cette dame, tout va bien au CSJ, on dirait que le Conseil c’est Disneyland : parfait, magique, tout le monde est heureux. Dommage que la réalité vécue par les citoyens soit bien différente
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Christophe P Le 18 juin à 19:44
Je découvre votre vidéo avec Madame Bénédicte Inghels et je souhaite, en tant que citoyen actuellement en rapport avec le CSJ, pouvoir donner un avis sur la manière dont un tel organe est perçu par les justiciables.
Dans un dossier concret que j’ai signalé, je constate un profond décalage entre les principes affichés dans ce type de vidéo (impartialité, enquête, transparence) et la réalité vécue : absence de retour réel, impression d’étouffement, sentiment d’impuissance.
Je pense qu’il serait essentiel que le CSJ tienne compte de ce type de témoignage et réponde concrètement à ce que les citoyens concernés ressentent face à ce genre de situation.
Nj Le 18 juin à 20:37
Il y’a clairement un décalage entre ce qui est présenté dans les discours officiels et ce que le citoyen ressent réellement quand il essaie de se faire entendre.
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